Comme chaque année, le site pornhub publie des statistiques très intéressante sur les différents centre d’intérêt des visiteurs selon leur sexe, leur âge mais aussi selon leur pays d’origine. Et comme chaque année depuis 3 ans, la niche beurette arrive en tête des suffrage pour la France. Ce résultat peut paraître d’abord surprenant, mais si on analyse un peu plus en profondeur en comprend vite que c’est assez logique étant donné qu’une très grosse partie de la population française est d’origine du Maghreb. Les mecs des cités, des grandes villes et des grandes agglomérations fantasment énormément sur les petites beurettes de France qu’ils côtoient tous les jours, à la fac, dans le métro ou dans la rue.. Mais, selon une étude réalisée par le site Roadsexe, ils ne sont plus du tout les seuls. Il aurait une tendance à la généralisation de ce fantasme aux 4 coins de France, indépendamment de l’âge, de lieu de résidence ou de la classe sociale. On peut le dire haut et fort: Maintenant, tout le monde rêve de coucher avec une beurette.
Il s’agit évidement d’une niche sensible, pour des raisons évidentes de religion ou de pressions sociales, qui font qu’une fille qui voudrait tourner dans une vidéo porno va y réfléchir à 2 fois avant de se lancer. Il y a donc très peu de réelles actrices X sur cette niche et la plupart du contenu qu’on peut trouver est presque 100% du contenu amateur, voire du revenge porn. Le revenge porn, en gros et pour faire simple, c’est des vidéos intimes, filmées pour un usage personnel, qui sont finalement publié sur différents sites internet. Bien souvent les publications sont faites par le mec lui même, qui souhaite se venger de son ex ou qui, tout simplement, veut montrer au monde, par fierté, comment il baise ou encule sa nana. Et en fin de compte, tout ça contribue aussi énormément à faire monter l’intérêt envers cette niche car elle nous offre du vrai, du réel. Les filles pourraient très bien être nos voisines, nos collègues de travail, la prof de nos enfants, la serveuse du resto du coin… bref, vous l’aurez compris, on pourrait très bien les connaitre et on attend avec impatience ce jour, où, peut être, on verra une connaissance en plein ébats sexuels sur une vidéo glanée sur le net.
La revers de la médaille c’est que, pour ces filles, les diffusions sur le net sont souvent un vrai calvaire. Lorsqu’elles se font reconnaître elles font tous ce qu’elles peuvent pour faire effacer les vidéos et portent souvent plainte à la police pour essayer de récriminer le coupable de la publication, mais le mal est fait, tous le monde a vu la vidéo. Imaginez un peu le bazars que ça peut faire dans une famille musulmane très attachée aux coutumes. A ce propos nous avons rencontrée une fille que nous nommerons Nadia, pour préserver son anonymat, une fille qui a du partir de chez elle plus tôt que prévu pour s’émanciper et vivre sa vie à l’occidentale après une mésaventure du genre.
Nadia: »Je faisais confiance à mon copain, j’étais amoureuse, j’étais conne… lorsque mon père à vu la vidéo j’ai vraiment eu très peur, il m’a mise à la porte et j’ai du aller chez une copine, le temps de me retourner. J’aime vivre librement et je trouve ça abusé de se faire jeter pour ça, j’ai juste couché avec mon mec.. le plus choquant pour moi c’est que le mec qui a publié ma vidéo aurait jamais accepté que sa sœur fasse pareil, c’est n’importe quoi et assez hypocrite, mais c’est la vie. »
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